Ă€ 1 h 23 du matin le 26 avril 1986 le monde a comptĂ© les dernières secondes jusqu’au dĂ©but de la catastrophe la plus terrible du siècle dernier.
Les mêmes dernières secondes qui sont devenues le requiem final du quatrième réacteur
Elle a mis en péril le développement
Chaque printemps la communautĂ© internationale rend hommage aux employĂ©s dĂ©cĂ©dĂ©s Ă la centrale nuclĂ©aire de Tchernobyl et aux liquidateurs de l’accident. Ces gens s’exposent Ă un risque mortel….ils allaient dans un rĂ©acteur dĂ©truit, dans l’espoir de trouver ceux qui avaient encore besoin d’aide. Le signal lumineux de danger radiologique est restĂ© pour toujours dans l’esprit de ceux qui ont survĂ©cu Ă l’accident.
Le mĂŞme signal lumineux, accompagnĂ© d’un son strident et dĂ©sagrĂ©able de la sirène d’urgence allumĂ©e. C’est un son qui ne s’arrĂŞte pas , qui excite les nerfs, qui Ă©tait insupportable Ă entendre.
C’Ă©tait un facteur qui a horrifiĂ© de prendre conscience de l’ampleur de la tragĂ©die. Il est impossible de l’effacer de la mĂ©moire,,, impossible d’oublier et aujourd’hui..
Dans ce matĂ©riel – dĂ©crit la dernière heure de la vie de la quatrième unitĂ© de puissance.. Les dernières minutes et secondes de la vie des gens. Les dernières minutes et secondes de la vie des personnes qui ont directement participĂ© Ă la localisation de la tragĂ©die.
Des ouvriers à qui les erreurs fatales ont coûté la vie!
Le matĂ©riel a Ă©tĂ© recueilli sur la base de documents d’archives dĂ©classifiĂ©s et par des survivants des tĂ©moins oculaires.