00:30. Lors du passage au rĂ©gulateur de commande automatique, l’opĂ©rateur n’a pas rĂ©ussi Ă maintenir la puissance rĂ©active et elle a Ă©chouĂ©, tombant Ă la marque la plus critique. Le rĂ©acteur est pratiquement Ă©tait bloquĂ©. Dyatlov dans une colère de panique commet une erreur catastrophique. Il ordonne Ă l’ingĂ©nieur en chef de retirer les barres de commande afin de normaliser la puissance du rĂ©acteur. La gâchette est armĂ©e.
Les barres de contrĂ´le provoquent l’accĂ©lĂ©ration et le freinage du rĂ©acteur nuclĂ©aire. Sous son toit de 15 mètres, il y a des Ă©lĂ©ments d’uranium qui dĂ©gagent une Ă©norme quantitĂ© d’Ă©nergie thermique.
La vapeur est dirigĂ©e vers d’Ă©normes turbines reproduisant l’Ă©nergie Ă©lectrique. Les barres de contrĂ´le de la collecte d’Ă©nergie ils contrĂ´lent cette force puissante. Avec
Mais puis s, il y a un risque que les ingĂ©nieurs perdent la capacitĂ© de faire fonctionner le rĂ©acteur. Par coĂŻncidence des Ă©vĂ©nements, c’est ce que demande Dyatlov de ses subordonnĂ©s sous une forme ultimative.
Le conflit entre lui et L.Toptunov s’aggrave Ă nouveau et Toptunov refuse d’exĂ©cuter l’ordre du supĂ©rieur. ContrĂ´ler le panneau de commande commence par Yuri Tregub, chef de quart de la quatrième unitĂ© de la station, le chef de quart de la quatrième unitĂ© de la station, et avec Akimov ils commencent Ă disperser le rĂ©acteur. Après 5 minutes la puissance commence Ă augmenter progressivement. Dyatlov a obtenu ce qu’il voulait, et dit Ă Toptunov de prendre place Ă nouveau près du panneau de commande. Le personnel qui gère la station n’a pas eu l’occasion de confronter un cadre supĂ©rieur expĂ©rimentĂ©.
Le travail d’ingĂ©nieur d’une centrale nuclĂ©aire est bien rĂ©munĂ©rĂ©. Tout le monde a un appartement et les familles sont Ă©quipĂ©es de tout le nĂ©cessaire.
Ils vivent dans la ville la plus proche -,Pripuat, oĂą l’approvisionnement est effectuĂ© selon les normes alimentaires les plus Ă©levĂ©es. Les magasins ont tout, ont Ă©galement construit des Ă©coles, des jardins d’enfants, il y a un parc pour le divertissement des enfants.
Personne qui Ă©tait en service cette nuit-lĂ ne voulait rester sans travail,
Cette peur de tout perdre ne leur a pas permis de défendre leur point de vue,
même quand il est devenu évident que leurs actions peuvent provoquer des conséquences catastrophiques.
Parallèlement Ă l’augmentation de la puissance du rĂ©acteur, l’irrĂ©vocabilitĂ© de la catastrophe approche. Dyatlov ignorant dĂ©libĂ©rĂ©ment le protocole avec les exigences techniques, selon lequel l’expĂ©rience doit se dĂ©rouler Ă un minimum de 700-800 MW. Donne le signal pour essais le rĂ©acteur avec la puissance de 200 MW, considĂ©rant que le risque n’est pas grand et qu’il en vaut la peine. RĂ©sister Ă des arguments sĂ©rieux et
Le personnel, dont les qualifications ne causaient pas suffisamment de respect Ă Dyatlov, a Ă©tĂ© remplacĂ©, il ne les a tout simplement pas Ă©coutĂ©s, les considĂ©rant comme insuffisamment expĂ©rimentĂ©s. C’est lui, qui est le produit du rĂ©gime socialiste, qui l’a Ă©levĂ©.
Il est né dans une famille avec peu de richesse, son père était un simple pêcheur, le garçon a souvent fui la maison.
MalgrĂ© une enfance difficile, il a accompli beaucoup, est devenu ingĂ©nieur, a rejoint le parti. Une tache sombre dans sa biographie est le travail en SibĂ©rie, quand il a participĂ© Ă l’installation d’un rĂ©acteur nuclĂ©aire sur un sous – marin. Au cours d’actions non professionnelles la situation est devenue incontrĂ´lable et une explosion nuclĂ©aire s’est produite. Beaucoup ont Ă©tĂ© touchĂ©s par les consĂ©quences de l’explosion, y compris le fils de Dyatlov.
La Commission d’enquĂŞte a tentĂ© d’Ă©tablir l’implication aussi Ă Dyatlov dans cette tragĂ©die. Aucune preuve directe n’a pas Ă©tĂ© trouvĂ©e. Il est restĂ© dans cette profession, mais est devenu plus catĂ©gorique et pas toujours disciplinĂ©. Il Ă©tait convaincu que dans l’industrie nuclĂ©aire, les règles et la rĂ©alitĂ© ne sont parfois pas cohĂ©rentes.
Parfois, pour obtenir un résultat, il faut être rusé pour couper les angles vifs.