01:11 du matin.. L’expérience de poursuit.
Dans la zone inférieure du réacteur, pas toujours contrôlée par des capteurs , la puissance augmente considérablement.
Le réacteur est devenu une bombe à retardement invisible.
01:17. Akimov, suivant l’ordre de Dyatlov d’accélérer le début d’essais, il donne l’ordre de fixer les paramètres initiaux du turbogénérateur.
01:18. Dyatlov donne la prochaine commande et l’équipement de pompage de secours est connecté au travail, les turbines sont presque silencieuses.
Il est prévu que dans 40 secondes la puissance fournira des générateurs de secours. La question se pose de savoir s’il est possible que des turbines pratiquement arrêtées assurent le fonctionnement des pompes à eau avant que les générateurs ne soient allumés –
sans alimentation en eau en temps opportun, le réacteur peut bouillir jusqu’à ce qu’il soit sec. Pour Dyatlov qui ne soupçonnait pas le risque d’une catastrophe imminente, un tel danger reste purement théorique.
01:22. L’alimentation en énergie des turbines est arrêtée, Au fur et à mesure qu’ils sortent du travail, les pompes alimentent le réacteur avec un volume minimal d’eau qui, lorsqu’il est évaporé, forme une énorme quantité de vapeur.
À chaque seconde, sa pression augmente et par conséquent, un spectacle comparable à la fin du monde se produit dans l’immense salle du réacteur – la pression de vapeur dans le réacteur soulève par sa force les pointes des barres de contrôle pesant plus de 350 kg.
